Quand vous serez bien gâteuse devant votre télé
A zyeuter l’amour est dans le pré, connement,
Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant,
JiPé me louait quand que j’étais une beauté.
A
Lasse, vous serez seule avec votre femme de ménage,
Qui, bien que déjà à moitié endormie,
Entendant JiPé, ne cesse son balayage
En ajoutant encore sur la vile flatterie.
B
Je mangerai les pissenlits par la racine,
Brûlant ma carcasse dans les enfers terrifiants ;
Vous serez une tite vieille rabougrie, anodine,
C
Pleurant mon Amour et votre mépris hautain,
Devenez, croyez-moi, ma maîtresse divine
Et vivre une nuit d’amour du soir au matin.
D
d